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Affichage des articles du 2023

24 décembre : J'aime la vie et la vie m'aime.

 Point d'orgue de toute cette série, de tout ce processus : laisser tomber les carcans "protecteurs" qui nous corsettent, nous vident de notre énergie et nous maintiennent dans la peur et le contrôle.  On peut aimer une personne malgré ses défauts, ses défaillances, même si elle n'est pas parfaite. De la même façon on peut aimer la vie malgré les insatisfactions, les déceptions, et les épreuves qu'elle nous impose.  Changer notre point de vue, enlever nos oeillères, peut nous amener une plus grande liberté, et nous permettre d'apercevoir tous les petits cadeaux de la vie à côté desquels nous sommes peut-être passés jusque là.  Je prends une ou deux minutes pour l'immerger dans ce flot d'énergie, d'échange, de partage, de pur bien-être.  Pour aller plus loin :  peut-être un état d'esprit à cultiver, se programmer de petits moments de retrouvailles avec cette énergie fondamentale, se ressourcer aux fondements mêmes de notre existence.  Je vous so

23 décembre : J'avance dans la vie le coeur ouvert

 La tendance habituelle est plutôt de porter des masques, de se cacher, de se protéger. Pour ne pas trop souffrir, pour ne pas être déçu-e, pour tomber de moins haut. Pour se protéger, en fait. Et pourquoi pas.  Sauf que d'être ainsi sur la défensive nous fait souvent passer à côté de belles choses, et mine de rien nous demande beaucoup d'énergie. Nous passons notre temps à tenter de nous prémunir contre des évènements, des situations, qui vont peut-être se produire, ou peut-être pas, et contre des émotions qui vont peut-être nous faire du mal, ou peut-être pas.  Est-ce qu'il vaut mieux une vie linéaire, fade, sans surprise, ou bien une vie plus intense, plus riche, au risque de souffrir un peu plus ? Ce que l'on néglige trop souvent, c'est que si on se coupe d'une émotion, on se coupe de toutes les émotions. Il n'est pas possible de filtrer et de ne prendre que ce qui nous arrange. Donc ouvrons notre coeur à ce qui se présente, et faisons-nous confiance sur

22 décembre : Je fais confiance à mon intuition et à ma sensibilité.

 On croit toujours que c'est le cerveau qui nous gouverne, que c'est lui le maître et que c'est bien comme ça.  En réalité, notre intuition est bien plus efficace. Le mental ne peut traiter que les données qu'il connaît déjà. L'intuition a accès à énormément d'informations dont nous ne sommes pas conscients : le non-verbal, les sensations du corps, les souvenirs oubliés, les impressions fugaces, toute une mine de renseignements très fiables, à laquelle nous pouvons complètement faire confiance.  Je prends une ou deux minutes pour me relier à mon intuition, qui est un bon guide pour moi.  Pour aller plus loin : et si vous vous entraîniez à faire confiance à votre intuition ? Vous pouvez commencer par de petites choses, pour tester et vous conforter dans l'assurance qu'elle est juste pour vous. Puis petit à petit faire appel à elle de plus en plus souvent, dans des situations extrêmement variées. Plus vous la sollicitez, mieux vous décryptez ses messages.

21 décembre : Je lâche-prise et tout va bien.

 Le lâcher-prise. Notion mise un peu à toutes les sauces, et dont on ne sait plus très bien ce qu'elle veut dire.  Tout d'abord, ce qu'elle n'est pas : ce n'est pas de la résignation, ni de la passivité. On pourrait presque dire "au contraire".  En fait c'est l'opposé du contrôle. Nous avons souvent tendance, surtout lorsque ça ne va pas très bien, à vouloir tout maîtriser, organiser, anticiper le moindre détail, prévoir toutes les configurations possibles, pour ne pas être pris-e au dépourvu. Or, en faisant cela, nous nous crispons, nous réduisons l'éventail des possibles.  Lâcher prise, c'est après. Une fois que nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir, admettre que le reste ne dépend plus de nous. Et laisser faire. Et s'apercevoir que même si nous ne maîtrisons pas tout, tout va bien.  L'inattendu peut se produire, et ce sera même mieux que tout ce que nous aurions pu imaginer.  Une ou deux minutes pour souffler, lâcher

20 décembre : Je savoure le fruit de mes efforts.

 L'affirmation d'aujourd'hui nous invite à un peu de bienveillance envers nous-mêmes.  Les efforts que nous faisons, même les plus quotidiens, les plus communs, méritent qu'on les reconnaisse et qu'on en apprécie le résultat.   On peut toujours se laisser parasiter par les "tu aurais pu faire mieux", "tu devrais faire plus". Mais tels qu'ils sont, les progrès obtenus sont déjà louables en eux-mêmes. Se dépasser, sortir de sa zone de confort, quel que soit l'objectif, sont déjà des victoires sur soi-même, qu'il convient d'estimer à leur juste mesure.  Une ou deux minutes pour m'autoriser à être fier-e, content-e de moi et de ce que j'ai accompli.  Pour aller plus loin : le plaisir éprouvé à savourer le fruit de nos efforts peut aussi être une bonne motivation pour persévérer. Si je gravis une montagne escarpée en maintenant le regard fixé sur le sommet à atteindre, le but paraît toujours très lointain, voire inaccessible. S

19 décembre : J'ose montrer ce dont je suis capable.

La plupart du temps, ce qui nous fait échouer, ce ne sont pas les difficultés, ou un manque de capacité. C'est la pression que nous nous mettons, ce sont les carcans dans lesquels nous nous enfermons. La peur du regard des gens, la peur de décevoir, la peur d'être soi-même. De se dévoiler, d'apparaître différent, d'exposer ce que nous prenons pour des faiblesses, et qui sont en réalité ce qui fait notre personnalité, notre individualité.  Je prends une ou deux minutes pour me réconcilier avec moi-même, sortir de la prison que je me suis imposée, et dévoiler toute l'étendue de mes capacités.  Pour aller plus loin : dans quel domaine est-ce que je me restreins le plus ? et qui pourtant me tient particulièrement à coeur. Quel est l'obstacle majeur ? Comment faire un petit pas dans cette direction, qui soit supportable pour moi mais que m'entraîne un peu au-delà de ma zone de confort ?  Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.

18 décembre : Je m'attends au meilleur, et le meilleur arrive.

 Vous connaissez sans doute la loi d'attraction. Grossièrement résumée, elle dit à peu près ceci : nous attirons ce que nous voulons. Ou plus exactement, ce à quoi nous nous attendons. Ce qui est un peu compliqué avec cette loi, c'est que nous n'obtenons pas ce que nous appelons de nos voeux consciemment, mais ce qui correspond à nos croyances inconscientes.  On peut désirer très fort quelque chose, si nous sommes intimement persuadés du contraire, c'est le contraire qui arrivera.  Il ne sert donc à rien de s'auto-persuader, ce n'est pas à ce niveau-là que ça se joue. Mais nous pouvons faire évoluer nos croyances, et cultiver celles qui nous sont le plus profitables, et que pourtant nous sollicitons trop rarement.  Et parmi elles, le sentiment que le meilleur peut arriver. Que parmi les infinies possibilités, il y en a toujours au moins une qui sera bénéfique pour nous. Et que c'est à celle-ci que nous avons besoin de nous ouvrir.  Alors je prends une ou deu

17 décembre : J'ai suffisamment de ressources en moi-même pour surmonter les obstacles

 Parfois difficile à croire lorsque les épreuves imposées par la vie nous semblent écrasantes. Et pourtant chaque fois c'est l'occasion d'aller puiser en soi de nouvelles ressources, de se créer ou de révéler de nouvelles compétences. Un pas après l'autre.  Si l'on fait un retour en arrière, combien d'obstacles nous ont paru insurmontables de prime abord, et puis finalement ça c'est fait. Dans la douleur, souvent, mais en faisant de nous des personnes plus mûres, plus aguerries, plus sages peut-être.  Alors je prends une ou deux minutes pour le remplir de cette certitude que quoi qu'il arrive je vais m'en sortir.  Pour aller plus loin : noter quelle est votre plus grande peur, la catastrophe dont vous êtes sûrs-es que vous ne vous relèverez jamais. Puis cherchez dans vos souvenirs, est-ce que quelque chose de cet ordre-là n'est pas déjà arrivé dans votre vie ? quelque chose qui pourrait y ressembler, surtout dans ce que vous avez pu éprouver à ce

16 décembre : J'ai le droit d'exister

 Plus fondamental encore que la Déclaration des droits de l'homme !  Par le simple fait d'être né-e, enfant désiré-e ou pas, accueilli-e ou pas, chaque être humain, chaque être vivant, a sa légitimité à être, sa place et son rôle, sa spécificité unique qui enrichit l'ensemble.  Malgré les sentiments de culpabilité, d'échec, de ne pas être à la hauteur, de décevoir les attentes, de ne pas être "comme il faut", et tant d'autres (l'imagination en ce domaine est sans limites), le droit d'exister, et plus encore d'exister dans son individualité, est inaliénable.  Cela peut être un peu bouleversant lorsqu'on a pris l'habitude d'une acceptation conditionnelle, de devoir être comme ci ou comme ça pour  être accepté. Et pourtant, si l'on s'abstrait du regard des autres, c'est bien un postulat fondamental.  Je prends une ou deux minutes pour me reconnecter à cette évidence trop souvent perdue de vue.  Pour aller plus loin : si j&#

15 décembre : Je me remercie de prendre soin de moi

 Une affirmation qui pourrait paraître un peu étrange. Différentes parties à l'intérieur de soi, qui prennent soin les unes des autres, qui se remercient l'une l'autre ? Cela va un peu à l'encontre de la façon dont nous avons l'habitude de nous considérer : fait d'une seule pièce, monolithique, d'un seul bloc : ça, c'est moi ! En réalité, ce bloc est constitué de plusieurs facettes : nous ne montrons pas toujours la même image de nous lorsque nous sommes au travail que lorsque nous sommes en famille, par exemple. Pas la même façon de s'habiller, des comportements différents....  Là, c'est un peu pareil, il y a une partie qui a besoin qu'on s'occupe d'elle, qui réclame : cela peut être le corps, fatigué, qui souffre de trop de contraintes, ou bien l'enfant intérieur qui a été blessé et qui a besoin d'être consolé, ou encore un élan de créativité ou d'épanouissement qui se sent trop réprimé, comprimé, et qui a tellement envi

14 décembre : Je prends ma place.

 Etes-vous du genre petite souris à vous cacher dans les coins ? ou tellement peur qu'on ne vous remarque pas que vous avez tendance à en faire un peu trop ? Il n'est pas toujours facile de trouver sa juste place. Vous attendez peut-être que ce soient les autres qui vous la donnent ? En général ça ne marche pas très bien. Vous avez peur de les écraser ? Ils sont assez grands pour vous le faire remarquer avant. Une ou deux minutes pour vous laisser porter par ce sentiment : je prends ma place, juste ma place, mais toute ma place.  Pour aller plus loin : vous pouvez observer comment vous prenez votre place ou non, en compagnie, au travail, en famille. Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.

13 décembre : Je suis bien comme je suis.

 Malgré toutes les critiques, les jugements négatifs que nous avons pu ou pouvons entendre encore sur nous, et que nous relayons beaucoup à l'intérieur, c'est l'idée que nous faisons du mieux que nous pouvons, et que la personne que nous sommes est valable, digne d'être estimée. Ce n'est pas que nous soyons parfait-e, ou mieux que les autres, mais juste qu'à l'intérieur de nous il y a des forces, des faiblesses, et c'est ok avec ça.  Une ou deux minutes à relâcher la pression et à apprécier qui je suis.  Pour aller plus loin : y revenir de temps en temps lorsque l'estime de soi est en chute libre ?  Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.

12 décembre : Je suis attentive/attentif aux petits miracles de chaque jour

Chaque jour nous offre des petits moments de plaisir, des petites surprises, des coïncidences étonnantes, des petites choses qui peuvent passer inaperçues, ou bien que nous pouvons même minimiser.   Pourtant ces petits riens nous font sourire, nous redonnent de la joie, voire de l'espoir. Alors pourquoi ne pas les reconnaître et les accueillir, peut-être les cultiver ?  Je prends une ou deux minutes pour me mettre dans cet état d'esprit, m'ouvrir à ces instants de grâce si précieux.  Pour aller plus loin : vous pouvez même envisager de vous faire un carnet de petits miracles, où vous pourriez noter chaque soir tous ceux qui se sont produits dans la journée.  Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.

11 décembre : J'ai du pouvoir sur ma vie.

 Parfois nous nous sentons dépassés, ballotés par la vie, impuissants. Et nous oublions trop souvent que cette vie est la nôtre, et que nous pouvons choisir ce que nous en faisons.  Nous ne pouvons pas éviter les épreuves, les obstacles, les inconforts, mais il ne tient qu'à nous de décider de la manière dont nous allons les traverser : subir avec résignation, ou bien essayer d'en faire quelque chose ?  Pendant une ou deux minutes, je m'imprègne de cette idée : j'ai du pouvoir sur ma vie. Comment je me sens ? Dans ma tête, dans mes émotions, et aussi dans mon corps ? Qu'est-ce qui change en moi ? Pour aller plus loin : y a-t-il des choses que vous aimeriez  faire évoluer dans votre vie, des situations qui ne vous conviennent pas, ou plus, et que vous aimeriez reprendre en mains ? Ce n'est pas la peine de vous précipiter à tout chambouler dans votre existence, mais déjà prendre un moment pour réfléchir.  Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.

10 décembre : Je me relie à ce qui m'entoure

 L'antidote par excellence contre la solitude ! Le sentiment d'isolement, c'est se sentir coupé des autres, de ses proches, de sa famille, mais aussi du genre humain en général, et même de l'univers qui nous entoure.  Pourtant en réalité, même sans nous en rendre compte, nous sommes tous reliés. Nous partageons la même planète, nous respirons le même air, nous ressentons les mêmes émotions.  Alors je prends une ou deux minutes pour ressentir cette connexion profonde avec l'humanité dans son ensemble, la vie dans son essence la plus absolue.  Pour aller plus loin : prendre conscience régulièrement de ce qui nous unit, de tout ce que nous partageons, de tous les liens entre nous, proches et moins proches, humains, animaux, et même pourquoi pas végétaux ! Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.

9 décembre : Je choisis ce qui est bon pour moi.

 Choisir ce qui est bon pour soi ne veut pas dire pour autant tomber dans la facilité, et privilégier prioritairement ce qui fait plaisir, ce qui engendre le moins de frustrations.  Cela oblige à avoir de soi une vision plus large que la satisfaction immédiate des besoins. De quel "moi" s'agit-il ? Du moi infantile qui réclame toujours plus de plaisir, et surtout de moins en moins de frustration ? Ou d'un moi suffisamment mature pour supporter quelques contraintes afin d'accéder à un épanouissement plus profond, plus enrichissant ?  Pendant une ou deux minutes, j'imagine que j'ai cette capacité de discerner ce qui au bout du compte me permettra d'évoluer vers une meilleure version de moi-même.  Pour aller plus loin : simplement chaque fois que nous nous trouvons devant des mini-choix  (est-ce que je vais dévorer cette tablette de chocolat quitte à culpabiliser ensuite, ou bien est-ce que je vais m'offrir un moment de pause réconfortant avec une inf

8 décembre : Je me fais confiance

 Une petite chose toute simple pour aujourd'hui, mais si difficile à mettre en pratique, tellement nous avons l'habitude de nous dévaloriser et de nous disqualifier.  Alors pour une ou deux minutes, je débranche le mental, je prends un grand bol d'air, et je laisse la confiance en moi prendre toute la place, irriguer chaque cellule.  Pour aller plus loin : il existe de nombreux exercices pour développer la confiance en soi, mais vous pouvez aussi partir du principe qu'elle est là, et qu'elle ne demande qu'à être contactée. Malgré tout ce qu'on a pu vous dire, vous faire croire, le simple fait d'être là témoigne d'une certaine dose, même minimale, de foi en vos capacités à vous en sortir. Donc dans les moments de doute ou de vacillement, vous pouvez juste prendre une minute ou deux pour la contacter à nouveau, et la laisser agir.  Passez une bonne journée, et on se retrouve demain. 

7 décembre : J'ai déjà tout ce dont j'ai besoin

 La phrase du jour peut cette fois être comprise (et utilisée) de deux façons.  D'une part elle nous invite à faire un retour sur nous-même, et à prendre conscience que ce n'est peut-être pas la peine d'aller chercher sans cesse à l'extérieur toujours plus de biens de consommation, et aussi plus de réussite, plus d'attention, plus de reconnaissance, etc... Que sans doute nous avons déjà une bonne partie de ce qu'il nous faut à l'intérieur : à l'intérieur de nous comme à l'intérieur de nos maisons.  Et d'autre part elle peut aussi s'entendre comme base de visualisation créatrice pour attirer l'abondance lors des périodes de grandes difficultés où nous sommes plutôt étreints par la peur du manque.  Donc pendant une à deux minutes, je ferme les yeux et je reviens à l'essentiel : j'ai déjà tout ce dont j'ai besoin, je peux juste savourer tranquillement, me réjouir et remercier.  Pour aller plus loin si vous le souhaitez : pourquoi

6 décembre : J'apprécie les petits bonheurs de la vie.

 L'affirmation d'aujourd'hui n'a pas besoin de beaucoup d'explications.  Parfois ce n'est pas la peine d'aller chercher bien loin, il y a moyen chaque jour de trouver des petites choses qui font du bien, ne serait-ce qu'un verre d'eau lorsqu'on a soif !  Je prends juste une minute ou deux pour me remémorer ces petits plaisirs, ces bribes de bonheur, et les savourer.  Pour aller plus loin :  par exemple décider d'y porter un peu plus attention, et de bien en profiter chaque fois que ça arrive.... Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.

5 décembre : Je mène à bien ce que j'entreprends, à mon rythme.

 Une petite pensée toute tranquille pour aujourd'hui : arrêter de se prendre la tête, de se mettre la pression, pour atteindre ses objectifs en force.  Je souffle lentement et profondément, et je savoure le fait de me laisser porter par cette certitude : je progresse à mon rythme, et j'atteins le but que je me suis fixé.  Sans forcer, sans stress, tout naturellement. Et ça fait tellement de bien.  Pour aller plus loin : un petit exercice sympa. Se fixer un objectif, pas trop lointain, pas trop grandiose, sans se donner de délai. Un truc simple mais qui vous fait vraiment envie, qui vous motive. Et que vous atteindrez un jour. On ne sait pas quand et ça n'a pas d'importance.  Passez une bonne journée, et on se retrouve demain.  

4 décembre : Je sais ce qui est bon pour moi.

  Ce n’est pas toujours évident de s’en rendre compte, parce que bien souvent nous passons notre temps à nous saboter, à faire des choix qui paraissent être plutôt à notre détriment. Parce que nous sommes trop dirigés par notre mental, qui analyse et cherche à nous protéger, mais ne fait que se baser sur nos croyances limitantes, nos traumatismes, voire nos préjugés. Pourtant tout au fond de nous, nous savons ce qui est bon pour nous. Comme une sorte d’intuition fondamentale, de petite voix qui inlassablement essaie de nous guider vers la meilleure version de nous-mêmes, vers les choix qui correspondent le mieux à la personne que nous sommes vraiment..   L’affirmation d’aujourd’hui nous propose de contacter cette partie de nous et de l’écouter un peu plus souvent si possible. Je ferme les yeux et je m’ouvre à cette intuition, cette part de moi-même qui est reliée à qui je suis vraiment, et donc à ce qui me correspond le mieux. Quelque part à l’intérieur, une partie de moi conna

3 décembre : J'ai en moi tout ce qu'il faut pour avancer

La vie nous confronte souvent à des épreuves, des obstacles à surmonter, des peurs à dépasser. Et il peut nous arriver de douter, d'avoir le sentiment de ne pas être à la hauteur.  Et pourtant, des obstacles nous en avons déjà franchis. Nos capacités, nos compétences, nous avons déjà eu maintes fois l'occasion d'y avoir recours, de les démontrer.  Alors pourquoi nous feraient-elles défaut à l'avenir ? Sans compter toutes celles que nous ne connaissons pas encore et qu'il nous reste à découvrir.  Aujourd'hui, je ferme les yeux, je respire, et je prends contact avec toutes ces qualités que j'ai au fond de moi et auxquelles j'ai déjà fait appel. Elles sont là, fidèles, n'attendant que l'occasion de se manifester à nouveau.  Je reste quelques minutes à profiter de tout ce bon à l'intérieur de moi, puis je rouvre les yeux et je retourne vaquer à mes occupations.  Pour aller plus loin, pourquoi ne pas prendre le temps de faire la liste de ces compé

2 décembre : Je suis en charge de ma propre vie

  Cette deuxième affirmation nous incite à reprendre les rênes, à surmonter le sentiment d’impuissance qui peut nous étreindre parfois. Même si nous avons tendance à l’oublier un peu trop souvent, nous sommes les acteurs, les actrices, de nos existences, et pas de simples figurants.  Nous n’avons pas non plus à prendre en charge la vie des autres. Nous pouvons les aider, les accompagner, mais pas nous substituer à eux. Je ferme les yeux, je me répète la phrase, et j’écoute comment elle résonne en moi. Quelle couleur prend ma vie si je décide de m’en occuper « pour de vrai » ? Quel sentiment émerge ? Quelle perspective s’ouvre ? Restez savourer deux ou trois minutes, puis reprenez le cours de vos occupations. Pour aller plus loin, si cette question vous interpelle : Il peut être intéressant de prendre un moment pour vous demander si vous vous sentez suffisamment aux manettes de votre vie, ou bien si vous avez l’impression d’être un peu passif-passive, de subir un peu les cho